En quoi l’attitude de l’entrepreneur n’est-elle pas correcte ?

En premier lieu, il convient de mettre l’accent sur la réponse de l’entrepreneur après que le directeur lui a demandé de prendre place, un remerciement devait en fait avoir lieu. Vient ensuite le fait de s’être présenté en des vêtements inconcevables pour un statut de directeur propriétaire d’une entreprise, ainsi qu’une mauvaise coiffure incompatible avec l’impression que doit donner ce dernier…
Une enveloppe fripée celle qu’il a tendue au directeur de la banque compte non tenu du modèle qu’on lui a proposé.
La dégradation des compétences de l’agent bancaire et la valorisation en contre partie de son ami Arnous, l’introduire à toute réponse en parlant à son nom et en révoquant ses paroles.
L’entrepreneur s’est montré prêt à lâcher un peu facilement pour accélérer les choses faisant l’impasse de ce qui est primordial, en l’occurrence convaincre le directeur de sa maîtrise du projet, de sa prévision des risques pouvant le menacer , d’une connaissance de ses éventuels clients, du marché auquel il compte s’ingérer ... Pour le directeur de la banque, cela ne sert à rien de partir dans une discussion avec l’entrepreneur si ce dernier n’a rien à mettre dans la balance, notamment des choses qui vont le convaincre de la faisabilité et la rentabilité du projet en question et ainsi du remboursement de son prêt.
Mis bout à bout, toutes ces petites négociations non optimisées ne peuvent que coûter cher au projet ou à l’entrepreneur voir même à constituer la barrière inaccessible pour son commencement.
Au lieu de profiter du rendez-vous avec le directeur pour avancer les bons arguments qui vont avantager son projet et lui procurer un prêt plus aisément, l’entrepreneur a perdu son temps à dire des futilités et donc s’est avéré non capable de réussir le premier pas celui de décrocher un prêt pour financer son projet faute d’habilité à la