Vivre dans un monde où tout peut attendre. Le calme règne en maitre. Les sentiments sont toujours présent, les bon, ou les mauvais. Toujours se delecter de l'instant présent. S'endormir sans réfléchir au lendemain. Apprécier la vie, la faune, la flore, chanter, danser, rire.

Tout est maintenant impossible, ces idées doivent êtres détruites, rien ne saura comme avant. Planquer dans sa maison de bois au milieu de nul pars, Victor Narre tremblais de peur, ne se nourrissait seulement de boites de conserve et ne buvait plus que l'eau du robinet depuis une semaine.

Une semaine que tout avait commencer. Evidemment l'état disait les deux premiers jours que ce n'était qu'une grippe ayant un peu muté. Mais lorsqu'il se rendu compte que l'infection se propageait à une vitesse folle, chaques pays ont donc du déclarer l'état d'urgence. Toutes les personnes connus encore en "vie" ont du se terrer sur une île déserte, voire même dans l'espace, les civils doivent donc survivre eux mêmes ou mourrir.

D'ailleurs depuis ce jour, "mourrir" n'avait plus de signification. Ces "choses", oui ce n'était plus des êtres humains, ne cherchent plus qu'à se nourrir de chair humaine. Elles deviennent ainsi lorsqu'elles sont porteuse de l'infection appellé solanum par les scientifiques. Ces scientifiques ont expliqués que la maladie arrêtais le coeur du porteur, et quelques heures plus tard, le cerveau est réactivé par la maladie. Ensuite le mort-vivant n'avait qu'un seul but. Manger.

-"Un vrai bordel..." marmonnait Victor.

Un bruit sourd retentit. Victor retint sa respiration, tout ses muscles se crispèrent. Accroché à sa pelle, il halletait, son coeur battait la chamade.
Le même bruit frappait à sa porte.... Et un autre, et le dernier fit sauter la porte de ses gonds, celle ci s'écrasa contre le sol de la maison. Une de ses choses entra en trombe dans la maison. Dos à Victor, le zombie, le visage à moitier arraché tournait la tête, cherchant sa nourriture, soupirant un bruit