Dans ce reportage, je vais me pencher sur les itinérants qui réussissent à sortir de la rue. Michel Watteyne est le seul qui a réussi à s’en sortir (dans le reportage), il a 47 ans il vient de Sherbrooke cela fait 3 ans qu’il a quitté la rue. Il nous raconte ses débuts en tant qu’itinérants, les difficultés qu’il a rencontré, le sentiment de honte qu’il ressentait au point de le cacher a sa famille, les raisons qui l’ont poussé à reprendre sa vie en main et la réadaptation à laquelle il a dû faire face après avoir quitté la rue.
Michel s’est senti très blesse par la distance qui s’est créé entre et lui et son fils car celui-ci avait honte de la situation de son père. A mon avis, Cette distance qui s’est créé entre les deux n’est pas de la faute de Michel d’une part parce qu’il n’est pas à blâmer s’il s’est retrouve a la rue, on ne connait pas les causes, mais son fils aurait dû le soutenir. Michel n’a jamais accepté son sort, il a cherché des solutions à son problème, il s’est mis à rêver d’avoir sa propre maison donc il s’est intéresser à l’architecture, il s’est même mis à lire des livres sur le sujet. D’un autre cote, je pense qu’avec le soutien moral de son fils, et si celui-ci avait confronté Michel et lui avait expliqué ce qu’il ressentait vis-à-vis de lui c’est-à-dire qu’il avait honte de lui, cela aurait peut-être motive Michel à quitter la rue beaucoup plutôt.
Lorsque Michel s’est retrouve à la rue, son fils a pris ses distances envers lui. Il a simplement jugé son père au lieu d’essayer de comprendre comment il en est arrivé là et comment l’aider à en sortir. Il avait honte de lui, ce qui a profondément marquer Michel qui a du se sentir abandonne. Son fils est quelqu’un qui juge sans chercher à comprendre mais qui manque aussi d’empathie envers les personnes en difficulté. Ces valeurs sont importantes car selon moi lorsqu’on vit en société, on ne peut pas se permettre de juger les gens car chaque personne a son histoire et son vécu que l’on ne connait