Devoire Franccccais
I) L'oeuvre et son contexte
1- Jean de la Fontaine n'a point écrit que des fables, il a aussi transcrit des contes(Joconde, Les Frères de Catalogne...), des poème(,L'affaire Colletet, Adonis...) et aussi des pièces de théâtre( Achille, Astrée...) et bien d'autre. Entre l'esthétique des fables et des contes de Jean de la Fotaine on peut constater qu'elles sont écrites en vers comme les fables et qu'elles ont une visées morales.
2- Jean de la Fontaine présente la fable comme un genre issue de l'antiquité : il s'incrit donc dans une tradition inaugurée par le fabuliste semi-légendaire Esope. La Fable(ou apologue) revête une double dimension à première vue, elle relate une histoire simple aisement compréhensible et destinée aux enfants. Toute fois, cet apparence « puérile » dissimule un enseignement morale. La Fable apparaît donc comme un réçit divertissant et instructif. La Fontaine suggère que l'appologue est plus efficace que le discous rhétorique. En effet, la Fable semble contituer un bon moyen pour delivrer un enseignement dans la mesure ou son auteur nimpose pas violement son point de vue. Les auteurs classiques, dont fait partie La Fontaine sa caractérisent par cette volonté sd'instruire le lecteur tout enlui procurant du plaisir. C'est pouruoi le fabuliste compare son art à l'art de la conversation pratiquer par les honnête homme dans les sallons aristocratiques.
3- La fontaine designe souvent Esope appelé « Esope le Phrygien » à qui on attribue la paternité de la Fable comme littérature ou genre littéraire. Jean de la Fontaine présente Esope « difforme, laid de visage, ayant à peine figure d'homme » et presque entièrement privé de l'usage de la parole dans la vie d'Esope le Phrigien. Il laisse cent vingt-sept fables en prose que reprend en partie, au XVIIième siècle, Jean de la Fontaine. Les fables d'Ésope étaient en prose, La Fontaine les mit en vers.
5- Les fables se ratache au classicisme,