Enfance et jeunesse
Dans ce texte, il est posée une question au l’auteur : cette question aborde l’enfance et moments mémorables, l’éducation et aussi son impact. Le récepteur parle de son enfance et de sa importance sur le dépasser de sa vie. Il semble qu’il est né en Bretagne (deux années avant la seconde guerre mondiale) et nous parle de ce que les gens pensaient de lui (qu’il était un « anormal »). Sur sa mémoire, est restée l’image d’une femme du village (vêtue d’une très jolie robe blanche) que lui disait : « Ce n’est pas possible que la sorcière ait réuissi à avoir un enfant ! ». À cause de cette image (que lui a porsuivi toute sa vie), les personnes pensaient qu’il était comme un anormal (il traité sa anormalité : il s’a servi de cette situation défavorable et l’ai retournée à son profit). L’écrivain parle aussi d’autre image forte : son père se peignant en face ao miroir, avant son départ à la guerre. Il nos raconte encore quelques informations sur sa mère (la sorcière) et de ce qu’elle faisait pour les êtres humains et animaux. L’auteur parle aussi de son village et nous informe comment sa mère était comme personne et ses pensées. Il nous dit que les personnes venaient à la ferme pour voir ses parents (parle aussi du contraste de sa mère avec son père : dualité du pouvoir spirituel/ pouvoir temporel). Etienne Guillé, après ça, parle de sa vie avec ses parents et des conflits entre eux, mais aussi de son profond respect mutuel). Pendant son enfance et adolescence, il avait la immergence pour un « microcosme » d’évocation au mode de fonctionnement des systèmes qu’on retrouve à toutes sortes d’échelles de la vie (comparaison de la vie à un jeu de billard américain : il exprime sa volonté de participer à ce jeu, connaître le constructeur, la véritable nature des règles du jeu et ne pas être un simple «spectateur»). L’auteur commence a parler des conditions de vie en Bretagne (sa famille est originaire de la région entre Nantes et Rennes,