Escale portugaise

335 mots 2 pages

Escale portugaise
Introduction :
Visée du texte : le texte a pour but de donner une image esthétique de ce que l’auteur a vu, décrire la poésie et ses sentiments.
Genre : texte qui appartient au genre de la poésie
Registres : pas de registres dominant, tonalité érotique.
Idée directrice : (en 2 ou 3 phrases) principaux intérêts du texte choisis pour l’explication, annonce claire de ce que l’on va expliquer (« on peut étudier ce texte selon deux perspectives… »).
Lecture analytique : développement des idées directrices appuyée sur des expressions du texte, sur des relevés commentés.
Conclusion : synthèse rapide ou bilan de l’explication, ouverture. Ouverture sur l’influence de ce texte sur d’autres œuvres (Emile ou de l’éducation ou les Fables de La Fontaine et Hitler ou au vieux Chat et la jeune Souris)
Procédés d’écriture :
*figures de styles : -métaphore « l’escale fait sécher ses blancheurs aux terrasses » = le bateau fait sécher ses voiles au bord du quai. -personnification « le vent s’évertue » (s’évertue = faire des efforts )
*2 points de vue : ville chaleureuse, belle, mais plus on avance plus le soleil est rude et donc la ville devient moins agréable. => comme si la sirène (« Marseille, sortie de la mer »), charmante, belle, donne envie mais plus on reste, plus elle nous attire dans son piège et donc devient finalement méchante et beaucoup moins agréable.
*Champ lexical de la ville : terrasses, maisons, rue, paniers, grilles de fer, boutiques, fenêtres, volets, Place, cadran.
*Champ lexical de la nature : vent, soleil, algue, mer, poissons, feuillage, lumière, rose.
Dans ce poème les 2 champs lexicaux sont associés d’un à l’autre à chaque fois : oranger = cadran ; maison roses au soleil ; Supervielle associe souvent la nature avec la ville.
*Langage : soutenu et courant sont mêlés.
*Temps : présent = rend txt vivant, donne sensation d’y etre on a le temps qui passe puisque dans son poème on commence avec le levé de

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Quand le danger rôde...
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Bien que le livre ait été traduit de l’anglais, l’usage de plusieurs figures de style et de constructions de phrases variées m’a permis de jouir de cette lecture, en plus d’apprendre quelques nouveautés en matière de vocabulaire enrichi. Deuxièmement, l’aspect visuel de l’histoire est tout à fait épatant. La manière dont les passages descriptifs sont écrits laisse énormément de place à l’imagination. En ce qui me concerne, il a été très facile à visualiser les personnages et leurs environs grâce au vocabulaire très imagé utilisé par l’auteur. Ceci a rendu mon expérience d’autant plus agréable.….

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Pocket Plan - Rosi
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Il y en a qui vont de champignons Espagnols emplissant leurs cabas. Il Y en a qui, roquette en main, jubilent En anglais pour cette botte d’oignons- là. » 2 Il parle donc des langues et des cultures en faisant, une fois de plus, preuve de réalisme et en mettant en avant la vie quotidienne. Au niveau du style, Rosi ne lésine pas sur l'humour dans ses soixante-sept poèmes.….

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Fichelecture3°
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Hé ho
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personnalisé. - Le choix se fonde sur toutes les grandes marques en largeur d’assortiment qu’en profondeur d’assortiment. - La compétitivité des prix est assurée à la fois par la puissance d’achats effectuée pour l’ensemble des pays européens et patr la vocation promotionnelle de l’enseigne. - La….

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L'Avare
678 mots | 3 pages

la personnification de l’étagère « il prit à l’étagère » au lieu de « sur l’étagère » comme si l’étagère était en possession de l’objet ou encore du peigne « le peigne divisa » et des comédons « ils rentrèrent sous la peau » comme s’ils avaient été capables d’effectuer cette action par eux-mêmes. On mentionnera aussi la phrase suivante : « en longs filets orange pareils aux sillons que le gai laboureur trace à l’aide d’une fourchette dans de la confiture d’abricots » avec l’imbrication de plusieurs thèmes formant alors une métaphore n’ayant aucun sens. Enfin, cet incipit marque une rupture avec le roman traditionnel car le personnage n’est pas placé dans un cadre spatio-temporel précis, il n’y a aucune datation, ni aucun détail quant à la précision du lieu. Enfin, cet incipit permet à Boris Vian de faire une critique de la société superficielle marquée par un vide existentiel et une absence de spiritualité observée chez Colin dans les expressions suivantes : « le reste du temps il dormait » et « le nom de Colin lui convenait à peu près » mais aussi par son attitude narcissique.….

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Phèdre
594 mots | 3 pages

La personne n’ayant pas de cheveux, les traits fins et le teint pâle. Le personnage semble être déshumanisé par l’artiste. Il est comme s’il était un fantôme, habillé tout en noir et on dirait qu’il flot dans les airs. DEUXIEME PLAN : Il y a deux ombres qui s’éloigne, sur le pont qui surplomb une baie, à droite il y a un vertigineux précipice.….

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Tous les matins du monde - pascal quignard
1323 mots | 6 pages

Dans cette partie de texte nous retrouvons un type de texte plutôt informatif. Il y a plusieurs procédés ; comme des indices de temps et de lieux (la chantrerie royale, la rue ; 22 septembre 1672) tout cela nous donne des précisions sur l’époque à laquelle se déroule cet extrait. Nous pouvons remarquer aussi des figures de styles tels que : la métaphore qui rapproche l’humain de l’animal (les poils lui étaient poussés aux jambes et au joues ; il barrissait), la contradiction (il avait été rejeté… le contrat de chantrerie le stipulait) il se fait rejeter alors qu’il est sous contrat avec la chantrerie. Il y a un lexique péjoratif (sa voix s’était brisée).….

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Analyse le fantome de l'avare
394 mots | 2 pages

Tout d’abord, voyons comment l’auteur évoque une atmosphère de terreur. Il utilise la comparaison donnant au lecteur l’impression de voir ce que le personnage ressent : « Mes cheveux se hérissaient, mes genoux s’entrechoquaient, et je tremblais comme la feuille du peuplier pendant les fortes brises du nord. ». Dans cette citation, la peur éprouvée par le personnage principal quand il apprend que son hôte est un fantôme est très bien décrit par l’auteur.….

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Le parfum
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Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'oeuvre, il commettra l'irréparable... Description morale "Il n'était pas agressif, pas fuyant, pas sournois, il ne provoquait personne" et vivait replié sur lui-même mais parce qu'il n'avait pas d'odeur corporelle, il inspira dès sa naissance, de l'horreur et du dégoût aux personnes qui s'occupaient de lui. Il semblait être fait de marbre et n'avait nul besoin d'affection, de tendresse ou d'amour.….

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Le chien qui milanla
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[10: Personnification] [11: Comparaison] Les gens me chantent des ballades comme quoi il ne faut ignorer cette psychosequand peu d’entre eux savent que mes rêves souffrent de tangibilité[footnoteRef:12]. [12: Oxymore] Ils parlent de traitements, de soins, mais ils ne l’ont jamais vu, eux, ce chien miauler, la vérité dans les mensonges[footnoteRef:13], la clarté dans l’obscurité[footnoteRef:14], les voix étouffées[footnoteRef:15]. [13: Oxymore] [14: Oxymore] [15: Oxymore] Comment peuvent-ils comprendre cette sensation malsaine au moment oùje quitte ce corps dont les yeux abritent un regard inerte et vide, quand ceux-ci ne reflètent plus l'âme, mais le vaste néant d’incompréhension[footnoteRef:16]?….

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Monsieur Prudhomme
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A la fois cause et symbole de la raideur du personnage. Les attributs vestimentaires sont exagérés, le faux col est démesuré, il engloutit l'oreille >personnification > faute de goût. Rejet externe « ses yeux » >le rythme laisse penser qu’il est aveuglé par soucis apparence. Il est en pantoufles >qui brillent >accentue le caractère ridicule du bourgeois.….

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Fiche du commentaire de l'orange de francis ponge
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Une description qui contribue à nous faire apprécier l’orange. II. Ce que l’orange dissimule a) Le poème peut se lire comme un texte argumentatif b) Ponge nous invite à voir plus loin que les apparences c) Une réflexion poétique et philosophique Conclusion : Ponge nous invite à voir au-delà des objets, des apparences : d’un simple fruit, il fait un symbole. Il nous invite aussi à voir au-delà des mots : à la pression de l’orange, il fait naitre une réflexion sur l’expression.….

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