LE VENTRE DE L'ATLANTIQUE , Fatou Diome

Chapitre 1 : C'est l'histoire d'un garçon appelé Madické qui regarde un match de foot à la télé mais qui ne peut pas voir la fin car il pleut beaucoup et il y trop de vent. Dans ce chapitre, on raconte l'histoire d'un jeune femme qui est la sœur de Madické, elle s'appelle Salie. C'est elle qui raconte l'histoire. Elle à quitté son pays d'enfance pour aller vivre en France. Parallèlement on parle d'un joueur de foot appelé Madini.

J'ai trouvé ce début d'histoire intriguant, on voit deux mondes à travers Salie qui est partie en France et Madické qui est resté dans son village.
Mais les personnages font la même choses a des pays différents, on peut voir la vision des choses de manière différentes. Tout le monde regarde la demi finale de foot.
Dans ce chapitre, j'ai été choquée par le langage qu'utilise les personnages et le narrateur. ( ex : « tes idiot ou quoi, il va la niquer. » p.19 )

Chapitre 3 : Dans ce chapitre Salie nous explique d’où vient la passion de son frère qui est de joué au foot. On nous raconte aussi l'histoire du vieux qui vit dans le village. J'ai bien aimé ce passage car c'est assez émouvant de voir comment un petit garçon peut autant se démener pour réaliser ses rêves. De l'autre coté, sa sœur qui vit en France a du mal à subvenir aux besoins de son frère qui lui demande sans cesse de nouveaux objets tel qu'une paire de basket, une nouvelle paire de crampon, des protèges tibias, une balle en cuire...(p.62)

Chapitre 5 : Dans ce chapitre, Barbès raconte sa vie à Paris. Il y a 2 parties, dans la première partie il raconte aux enfants que Paris est une ville magnifique, que les gens sont tous riches et heureux ( ex : « croyez moi, ils sont très riches, là bas » p.85 ).
Il montre une vision très féerique de Paris. Mais dans la seconde partie, quand il s'adresse au lecteur, il d'écrit Paris d'une manière totalement différente.
Il parle du racisme qui est omniprésent ( ex : Il ne s'appelait pas