-Phrase d'accroche:
Le concept "d'habitus" de Pierre Bourdieu, sociologue français, met en évidence les mécanismes d'inégalité sociale.
-Présenter le sujet:
En effet chaque individu dépend d'une socialisation différente, c'est-à-dire que sa socialisation primaire et secondaire a été influencé par différents facteurs.
-Définir les termes du sujet:
La socialisation est un processus d'intériorisation des normes, des valeurs ainsi que des croyances de la société dans laquelle on vit. En effet, on distingue dans la socialisation, la socialisation primaire qui se fait durant l'enfance et la socialisation secondaire qui est le processus d'apprentissage et d'adaptation des individus tout au long de leur vie.
Le milieu social d'appartenance est le groupe social d'où l'on vient, là où la socialisation a été intériorisé par l'individu.
-problématique:
Nous pouvons donc nous demander si la socialisation dépend uniquement du milieu social d'appartenance ?
-Annonce du plan:
Tout d'abord, nous verrons donc que la socialisation dépend certes du milieu social d'appartenance mais qu'elle dépend aussi d'autres facteurs.
I.A/ Socia 1aire
La socialisation désigne le processus par lequel les individus apprennent les modes d’agir et de penser de leur environnement, les intériorisent en les intégrant à leur personnalité. La famille (agent primaire) joue un rôle centrale dans le processus de socialisation, son rôle est très important et le plus marquant. En effet c'est dans le cadre du milieu familial que se transmet le système de normes et de valeurs. Ce rôle dominant de la famille s'explique d'abord parce qu’elle intervient dès le plus jeune âge, au moment où la personnalité de l'enfant est encore influençable. Et ensuite parce que la socialisation se fait par des liens affectifs, elle va profondément structurer la personnalité de l’enfant et filtrer les messages transmis par les autres agents (école, groupe de pairs, etc). L'enfant apprend et intériorise les règles de