Le cannabis et ses risques
Des effets tels que l’envie de rigoler, de se sentir joyeux ou des sensations de bizarreries au niveau de son corps (se rapprochant plus de la fatigues) sont attendus. Cependant selon la quantité ingéré au jour d’un moment et/ou des individus, des malaises voire même une intoxication aigüe, appelé chez les jeunes le « Bad trip », accompagnés de vomissements, de sensations de confusion comme le temps, allant jusqu’à des crises de paranoïa. Certaines caractérisques secondaires qui permettent de coincer un « drogué » : yeux rouges, teint pale/verdâtre, bouche sèche, envie de manger, et impossibilité de rester en postures qui demande efforts.
Ces sensations de troubles corporels s’atténues à force de régularité de consommation mais les effets secondaires restent présent.
A long terme, elle peut entraîner : chez certains individus aux antécédents médicales présents, des troubles psychiques, comme l’anxiété pouvant aller jusqu’à une dépression pour certains. Et une sensation de « je-m’en-foutisme », où l’individu est dans l’incompétence d’utiliser ses capacités physiques et durant un moment où il faut réfléchir, ses capacités mentales.
Pour certains individus prédisposés, fumer du cannabis peut révéler ou développer, une maladie mentale grave, la schizophrénie.
Il y a des risques plus profond et bien plus grave, dans une consommation régulière de cannabis, comme un développement du cancer des poumons plus précoce ainsi que des troupes respiratoires chroniques.
Plus la place du cendrier se rempli de « joints » au cours des journées, plus celui-ci prend de la place dans le quotidien d’un individu, ainsi que dans ses réflexions pertinentes.
La consommation de