3 extraits au choix:

Extrait n°1 page 9 « -Madame,dis-je..en une langue barbare » page 10.

J'ai choisi cet extrait se trouvant au commencement du livre, car il ammorce vraiment tout. Dès les premières lignes on nous laisse deviner de ce qu'il va se passer par la suite, et on nous met directement dans le bain de comment le narrateur va nous conter l'histoire de ce dramaturge de renommé tout au long de ce livre. Dans ce passage, il est question de la naissance de Molière, au sens propre du terme. Du narrateur, Mikhaïl Boulgakov conversant avec la sage-femme, lui disant tel un devin toutes les prouesses qu'allait accomplir l'enfant qu'elle tenait en ses mains. Ebahie, elle lui retorqua « J'ai tenu dans mes mains des enfants plus illustres » ce qu'elle ne se doutait pas c'est que des siècles après cet acouchement on parle encore de ce bébé qu'elle avait fait naître... Lorsque j'ai commencé à lire cet ouvrage, ce court passage m'a interpellé car c'est un style très inhabituel pour une biographie ce qui provoque un « déboussolage » auquel on se fait très vite, de part la fluidité à laquelle on lit ce livre.

Extrait n°2 page 19 « Dans les chambres..dans la rue bourbeuse » page 20.

J'ai choisi cet extrait parmi les 284 pages de cet ouvrage, pour plusieurs raisons,qui à mes yeux me paraissent percutantes.
Dans ce passage on nous fait une description de la maman de Jean Baptiste Poquelin : Marie Cressé, sa mère, qui ne fut pas un personnage très présent dans sa vie, de part son décès lorsqu'il n'avait que 10 ans. Pourtant, c'est grâce à l'éducation donnée par ses parents que un enfant se construit pour devenir adulte par la suite. Ici, on nous décrit une femme, je cite « Douce, aimable et instruite » et si on juge par la description de sa toilette et de ses objets, on peut également la décrire comme une femme coquette et de goût. La figure maternelle que l'on a de Mme Poquelin est donc positive, ce qui nous fait la regretter par la suite, comme Jean