présentation Horla
Le récit est fait à la première personne. Nous ne connaissons pas l’identité di narrateur, nous savons simplement qu’il habite en Rouen il est originaire de cette région qu’il l’aime.
Ici le seul point de vue est celui du narrateur, « je » ce mode de narration a pour effet d’entrainer le lecteur dans l’intimité du personnage, il s’agit d’une focalisation interne.
Au début, l’extrait ne se semble pas appartenir au genre fantastique. Il n y a en apparence aucun motif ou événement qui renvoie au surnaturel. Ce texte se présente comme le journal intime d’un homme qui exprime ses sentiments de bonheur et de satisfaction.
« Quelle journée admirable », « comme il faisait beau ce matin», ce sont des phrases exclamatives. Cet homme solitaire appartient au centre d’un univers qu’est en sa possession. On remarque l’abondance des déterminants possessifs, « ma maison, mes fenêtres, mon jardin,… »
Cet extrait par sa date du 8 mai, et ses descriptions donnent l’impression de la réalité, le narrateur exprime ses sentiments de joie par un vocabulaire mélioratif. « Admirable, aime, belle, plaisir,…»
Dans ce début de la nouvelle l’action se passe devant la maison du narrateur, dans son jardin, d’où la présence du champ lexical de la nature qui montre la joie de vivre, et l’harmonie dans lesquelles « baigne » ce personnage : «étendu sur l’herbe, mon jardin,… ». on remarque également dans ce passage une grande richesse du registre …... la vision ….. Le plaisir, l’odorat souligne l’importance du sol natal, « lui » permet la relation entre le