Résumé la fée carabine
2
I. LA VILLE, UNE NUIT
L’inspecteur Vanini se fait abattre par une vieille dame armée d’un P 38 sous les yeux du Petit, de Julius le Chien et de deux Arabes qui préfèrent n’avoir rien vu (« Seulement, quand les
Arabes ne veulent rien voir, ils ne voient rien », p. 17).
Benjamin fait un tableau de la situation : lui et sa famille recueillent des grands-pères ex-drogués pour les empêcher de replonger et les protéger contre « la bande de la jolie brunette piquouseuse de vieillards » (p. 38) qui cherche ses clients dans la tranche du troisième âge. Julie Corrençon, belle journaliste dont Benjamin est amoureux, enquête sur cette bande et n’a pas refait surface depuis trois semaines.
L’inspecteur Pastor examine le corps en piteux état d’une jeune femme jetée du Pont Neuf et tombée sur une péniche de charbon. De retour à son bureau, Pastor retrouve l’inspecteur Van
Thian déguisé en vieille Vietnamienne, la veuve Hô. Sous cette couverture, celui-ci espère attirer dans un piège l’égorgeur de vieilles dames qui sévit dans Belleville.
II. LE BOUC
Semelle, un des vieillards hébergés par les Malaussène, est officiellement récompensé « d’avoir chaussé cinquante années durant les panards de Belleville » (p. 75). Après la cérémonie, il montre ce qu’il a reçu d’une jolie infirmière brune de la mairie : un sachet de médicaments louches. Cercaire, qui apparait d’emblée comme le stéréotype du flic bête et méchant, arrive à ce moment-là, embarque le sachet et les Arabes et met en garde Benjamin.
Alors qu’elle rentre chez elle après une virée avec ses amies dans l’autobus rouge du « divin
Stojilkovicz », un ami de Benjamin qui les promène dans tout Paris et leur redonne une nouvelle jeunesse, la veuve Dolgorouki se fait tuer par l’égorgeur.
Pastor tente de découvrir qui est la jeune femme qui a été jetée du Pont Neuf et qui git maintenant inconsciente sur un lit d’hôpital. L’inspecteur Caregga lui révèle par hasard l’identité de l’inconnue : Julie