Trois jours plus tard, j'emportais l'image dans l'école. Dans mon groupe de séminaire, on était surpris, certains faisaient les remarques reconnaissant, plusieurs étaient sceptiques et le considèrent avec méfiance, mais personne ne le refusait fondamentalement ou ne le tenait pour échouer. Le plus beau me disait Petra. Elle venait après la cinquième heure à mon banc, s'asseyait à côté de moi et disait : « Ton image a quelque chose. Je pense déjà tout le jour à ton paysage blanc à ne pas démordu dans moi, ce blanc, avec cela, quelque chose est à peine à voir. Je crois, quelque chose de tout à fait particulier t'a réussi avec cette image, je sais seulement non que. Je ne comprends pas ton image, je ne sais pas qui doit cela, mais cela a que. »
J'aurais pu les enlacer, redoublait cependant immobile sur ma place et répondait : "Va à moi aussi ainsi. En principe je ne le comprends pas non plus. Je sais, j'ai réussi quelque chose, mais que, cela je ne sais pas."
Oltenhoff, je montrais l'image un jour plus tardif, que nous chez celui-ci avaient la leçon. Il regardait la toile, alors il regardait (croyait) m'irrite et demandait : "Je ne comprends pas que tu veux me montrer, Paula ?"
"Mon paysage d'hiver", disais-je à peine. Je sentais, comme je me crispais. (...) "Je vois seulement une toile préparée le fond. Le couche de fond n'est pas impeccablement, çà et là transparaît quelque chose. Mais, pourtant, tu veux me montrer pas un couche de fond, ou ? Chez une étudiante dans la cinquième année d'études, je suppose qu'elle prépare le fond."
« Vois simplement l'image. J'y ai travaillé quatre mois." "Quatre mois ?", demandait-il ironiquement, « Qu’as-tu appris chez moi, Paula ? Ecoute, enlève cette toile tout de suite, je veux revoir. Et attrape enfin à de travailler. Je ne voudrais me dire aucun mot à celui-ci que tu m'as montré. Je ne voudrais pas du tout l'avoir vu, ce sera les deux le meilleur pour nous. »
"Vous êtes avec insolence, monsieur professeur Oltenhoff. J'ai