Bernard Tapie

BERNARD TAPIE Bernard Tapie était il y a de cela quelques années un homme ultra médiatique, excellent dans de multiples domaines. Ainsi, après avoir commencé comme pilote de Formule 3, il fut tour à tour chanteur, commercial en B to C, entrepreneur, conseiller, dirigeant de grand groupes d'entreprises, Président d'un club de football et pas des moindre, animateur télé, auteur, homme politique et enfin acteur. Au cœur de nombreux conflits, il tente de revenir sur le devant de la scène depuis sa

Bernard Tapie Bernard Tapie est un homme d'affaires français, né le 26 janvier 1943 dans le 20e arrondissement de Paris . Il est actuellement homme d'affaires, gérant du Groupe Bernard Tapie . Les relations de Bernard Tapie avec les journalistes sont le plus souvent mauvaises. Il pense qu'ils sont soit aigris, soit jaloux à force de fréquenter gloire, pouvoir et argent sans avoir aucun des trois. À plusieurs reprise, il a usé de la force contre certains d'entre eux. En 1991, à Moscou, envers

Crédit Lyonnais L’affaire “Adidas“ 1990 En Juillet 1990, le Groupe Bernard Tapie s'est porté acquéreur de la société Adidas auprès des soeurs Dassler, héritières des fondateurs de la marque. Afin de financer cet investissement de 1,6 milliards de francs, il a bénéficié d'un prêt syndiqué par la SDBO, filiale du Crédit Lyonnais et banquier du groupe Tapie depuis de nombreuses années. A cette occasion, les AGF, l'UAP et le Crédit Lyonnais entrent au capital de la marque de sport. L'entreprise a été

problèmes de succession mettent l'enseigne à genou. L'aventure Tapie En 1981, Bernard Tapie, adroit redresseur d'entreprises au bord de la faillite, rachète la coopérative pour… un franc symbolique. « A l'époque, l'enseigne n'est connue que dans un milieu restreint. Tapie entend donner un coup de fouet à sa notoriété en montant, en 1984, une équipe cycliste », raconte Benoît Soury, directeur général de La Vie Claire. Un pari gagnant. Bernard Hinault, remporte la grande boucle en 1985 sous les couleurs

Le recours à l’arbitrage dans l’affaire TAPIE/CDR Le 7 juillet dernier, le Consortium de Réalisation (CDR), c’est-à-dire l'organisme chargé de gérer la dette du Crédit Lyonnais, a été condamné à verser 285 millions d'euros à Bernard Tapie. Cette amende record est liée à une affaire qui remonte à 1992. A l'époque, Bernard Tapie, voulant se consacrer à la politique, décide de céder ses activités commerciales et industrielles. Il mandate le Crédit Lyonnais pour vendre sa société. Ses parts d'Adidas

Adidas est au bord du gouffre. Les héritiers décident de vendre la société à Bernard Tapie. Celui-ci change le logo de la marque, renouvelle les collections, revoit la politique de distribution et délocalise une partie de la production en Asie à l'instar de ses concurrents Nike et Reebok. À nouveau profitable en 1993, la société est revendue à Robert-Louis Dreyfus, qui poursuit le plan de redressement de Bernard Tapie. Adidas est introduite en Bourse en 1998. La société achète ensuite Salomon avant

Échos du 11 juillet 2008[3]. 7 juillet 1990 : le groupe Bernard Tapie achète 80% d'Adidas pour 244 millions d'euros, puis rachète 6 mois plus tard les 15% d'Adidas encore détenus par le groupe suisse Metro. 8 décembre 1992 : Tapie met en vente Adidas pour 317 millions d'euros. 15 février 1993 : annonce de la vente d'Adidas pour 315,5 millions d'euros à un groupe d'investisseurs, dont le Crédit Lyonnais (CL). 8 novembre 1994 : Tapie affirme que le CL détient de façon occulte plus que les 19

Adidas est au bord du gouffre. Les héritiers décident de vendre la société à Bernard Tapie. Celui-ci change le logo de la marque, renouvelle les collections, revoit la politique de distribution et délocalise une partie de la production en Asie à l'instar de ses concurrents Nike et Reebok. À nouveau profitable en 1993, la société est revendue à Robert Louis-Dreyfus, qui poursuit le plan de redressement de Bernard Tapie. Adidas est introduite en Bourse en 1998. La société achète ensuite Salomon avant

Paris. Après s'être longtemps occupé de football sur TF1 et être intervenu dans Téléfoot, il intervient en tant que chroniqueur d'On refait le match sur RTL et LCI, puis anime sa propre émission, Tirs aux buts. En 2001, il porte plainte contre Bernard Tapie pour coups et blessures [1]. En janvier 2008, il quitte le groupe TF1 pour devenir directeur général du Football Club de Nantes, chargé de la communication et du marketing[2]. En mars 2010, après avoir essuyé de nombreuses critiques[3], il quitte

que vient de rendre l’Assemblée plénière de la Cour de Cassation le 9 octobre 2006 qu’il paraît peu utile de « l’anonymiser ». Bernard Tapie et son épouse avaient organisé leur patrimoine autour de deux sociétés dont ils étaient les seuls associés. La première regroupait les actifs patrimoniaux des époux ; la seconde détenait la majorité du capital de la société Bernard Tapie Finance SA (BTF SA). Cette seconde société détenait elle-même des participations industrielles du groupe, en particulier celles