Champ Lexical

du roman.  I/ Le sacre de Georges A/ Le roi de l’extrait Emploi d’une métaphore filée qui le représente comme un roi : jeux de mots sur son nom ( Duroy devient Du Roy), la sortie de l’église représente à une procession royale… Emploi du champ lexical de la foule (plein de monde, amassée…) Emploi d’une répétition du mot « portique » : connotation à l’antiquité avec l’image du temple qui fait penser au triomphe, au sacre de l’empereur. Emploi du discours indirect libre et du discours direct

désigne-t-il ? /1 3/ « La nuit tombe » l.1 ; « Les premiers ne tardent pas à apparaître » l.1-2 ; « Ils trébuchent souvent » l.4 : indiquez les trois valeurs du présent. /1.5 4/ Relevez dans le texte quatre mots relevant du champ lexical de la fatigue et quatre mots du champ lexical de la saleté. /2 5/ Quelles sont les manifestations physiques de l’épuisement des hommes ? /1 6/Relevez deux métaphores animales et expliquez-les. /2 7/ Relevez trois expressions qui indiquent le nombre de soldats revenant

« Tartuffe ou L‘imposteur » de Molière Relever le champ lexical de la religion et du regard. Situer le passage. Acte I, Scène 5. La scène étudiée est bien après la scène d’exposition, qui s’ouvre sur le départ précipité de Mme. Pernelle, mère d’Orgon, qui quitte la demeure de son fils déçue des manières et du train de vie que mènent sa belle-fille , ses petits enfants et son beau-fils. Révoltée contre son entourage mal disposé envers Tartuffe , elle critique alors Elmire, Cléante, Damis

nous rendre compte de la souffrance qu'elle endure. Le narrateur utilise le champ lexical de l'alcool, insistant sur la dépendance de Germinie Lacerteux : « bu, verre, vin blanc, eau de vie, etc » On comprend au fil du texte que le personnage boit également afin de trouver le sommeil, un sommeil « sans mémoire et sans rêve […], de plomb ». On voit que le sommeil de Germinie se doit d'être assommant grâce au champ lexical du vide, du néant : « noir, de plomb, assommoir, foudroyait, écrasant, de néant

rimes alignés. Victor Hugo dénonce le travail des enfants et l’impact que ça a sur la construction de son être. L’auteur met en scène une situation triste suscitant l’émotion chez le lecteur par un registre pathétique. Evoquant douleur avec le champ lexical de la souffrance et de la misère : « pauvre » (l.3) ; « froid » « cher » « elle tousse » « deuil » « pleurs ». Victor Hugo illustre l’évolution de cette fille : enfant, c’est-à-dire les premières lignes : il évoque des termes « joie, amour, bonheur »

16 l'utilisation du mode impératif nous montre la supériorité du singe par rapport au chat. Dans cette fable on retrouve différents champs lexicaux comme celui du feu avec le verbe "rôtir" (vers 10), le mot "cendre" (vers 21), il utilise aussi le champ lexical du vol au vers 7 avec le verbe "dérober" et au vers 11 avec le verbe "escroquer", puis le champ lexical du gain avec les expressions "très bonne affaire" (vers 11) et "double profit à faire" (vers 12).

naturaliste | II] Une scène d’amour sensuelle |  champ lexical des humeurs : « son sang » l. 8 ; « ses nerfs » l. 8 ; « un homme puissant » l. 12 ; « tous ses instincts de femme nerveuse » l. 12-13.  explication de la passion de Thérèse : l’hérédité qu’elle porte par le sang africain de sa mère. répétition du terme sang l. 8, l. 13 (x 2)  Mise en valeur de l’aspect animal des deux personnages : « chair » l. 3, 8, 12. champ lexical du corps : « les cheveux » l. 2 ; « les lèvres » l. 6 ;

reçoit que de la haine. Finalement, il sera le messager de son propre destin : « le lendemain Chloé serait morte ». Lecture analytique 4 Support : chapitre 60 : « le feu jaillissait en grosses sphères rouges… ses yeux restaient dans l’ombre. » Champs lexical de l’incendie : « le feu ; extincteur ; brûlait ; pages noircies ; flammes ; cendres ». Expressions qui ont pour sujet le feu : « le feu jaillissait… le feu se débattait contre les Pompeurs ; le feu faisait rage ». Personnifications où le feu

volonté de Baudelaire de créer du beau à partir du laid. Ce poème, au premier abord, traite essentiellement d’une charogne en décomposition. Baudelaire semble insister tout au long du texte sur l’horreur du cadavre. Pour cela, il emploi le champ lexical du sordide : « charogne infâme » (vers 3), « suant les poisons » (vers 6), « son ventre plein d’exhalaisons. » (vers 8), « pourriture » (vers 9), « carcasse » (vers 13), « La puanteur était si forte » (vers 15), « ventre putride » (vers 17),

Etant donné que ces personnages sont dépourvus d’identité, on peut supposer que Verlaine met ici en avant une sorte de satire de la bourgeoisie de son époque : on retrouve une sorte de fausseté qui plane au-dessus du poème, on en retrouve le champ lexical : « pâle » (v.1), « semblent » (v.2), « nonchalance » (v.4), « trompeurs » (v.9), « coquettes » (v.9), « affranchis du serment » (v.10). En conclusion, le poète prive ses personnages d’identité dans un lieu que l’on peut facilement reconnaitre