Le Survenant Bonheur Nomade

Scouine, Laberge met en scène les forces autodestructrices de la terre. La déchéance de la terre apparaît avec R.Girard, Marie Calumet et A Laberge, La Scouine. Par contre, Nord-Sud de Léo-Paul Desrosiers, Le Survenant de G. Guèvremont soulignent une tension permanente, le désir d’évasion du nomade et la résistance du sédentaire, attaché à sa terre. L’idéologie du terroir ne reflète pas les réalités de l’époque. Elle sépare de façon radicale deux modes de vie, idéalisant à outrance la vie de champs

o la pensée, très fréquente, sera toujours dédiée à une femme, la mère surtout. o D'autres : croix, animaux, poignards affirmeront la haine, la violence, la vengeance ou le malheur. o D'autres : dés, fer à cheval, trèfle serviront de porte bonheur. o Les thèmes érotiques propres à l'adulte représentent une femme réduite à un objet partiel (cuisses écartées, vulve, seins). Ils dénotent l'ambivalence des tatoués pour qui la femme sera soit femelle et trou, soit bonne mère idéalisée et imaginaire

étrangères, où l’on s’en occupa pendant huit jours, et puis on parla d’autre chose. Mais l’ex-consul n’était pas au bout de ses peines. Quatre ans plus tard, Mme Corneuil plaidait en séparation. Sa mère l’avait accompagnée à Périgueux ; quand on a le bonheur d’avoir une mère habile, il ne faut jamais la quitter : on ne saurait mieux faire que de se gouverner toujours par ses conseils. « Pourquoi Mme Corneuil s’est-elle séparée de son mari ? Il faut entendre là-dessus les avocats. Ils furent admirables

160 VI. URSUS INSTITUTEUR, ET URSUS TUTEUR.........................................................................163 VII. LA CÉCITÉ DONNE DES LEÇONS DE CLAIRVOYANCE..................................................165 VIII. NON SEULEMENT LE BONHEUR, MAIS LA PROSPÉRIT................................................167 IX. EXTRAVAGANCES QUE LES GENS SANS GOUT APPELLENT POÉSIE.........................171 X. COUP D'OEIL DE CELUI QUI EST HORS DE TOUT SUR LES CHOSES ET SUR LES HOMMES 74 XI. GWYNPLAINE

160 VI. URSUS INSTITUTEUR, ET URSUS TUTEUR.........................................................................163 VII. LA CÉCITÉ DONNE DES LEÇONS DE CLAIRVOYANCE..................................................165 VIII. NON SEULEMENT LE BONHEUR, MAIS LA PROSPÉRIT................................................167 IX. EXTRAVAGANCES QUE LES GENS SANS GOUT APPELLENT POÉSIE.........................171 X. COUP D'OEIL DE CELUI QUI EST HORS DE TOUT SUR LES CHOSES ET SUR LES HOMMES 74 XI. GWYNPLAINE

débitant ses philtres et ses fioles, faisant, de moitié avec son loup, ses mômeries de médecin de carrefour, et il passait avec aisance à travers les mailles du filet de police tendu à cette époque par toute l’Angleterre pour éplucher les bandes nomades, et particulièrement pour arrêter au passage les « comprachicos ». Du reste, c’était juste. Ursus n’était d’aucune bande. Ursus vivait avec Ursus ; tête-à-tête de lui-même avec lui-même dans lequel un loup fourrait gentiment son museau. L’ambition

de chiennes ! La République sans vous (il a dit cela ! ), ne serait pas contrainte à payer le tribut des Romains ; et par vos débordements vous l'avez épuisée de parfums, d'aromates, d'esclaves et de silphium, car vous vous entendez avec les nomades sur la frontière de Cyrène ! Mais les coupables seront punis ! Il a lu l'énumération de leurs supplices ; on les fera travailler au dallage des rues, à l'armement des vaisseaux, à l'embellissement des Syssites, et l'on enverra les autres gratter

fils de chiennes ! La République sans vous (il a dit cela ! ), ne serait pas contrainte à payer le tribut des Romains ; et par vos débordements vous l'avez épuisée de parfums, d'aromates, d'esclaves et de silphium, car vous vous entendez avec les nomades sur la frontière de Cyrène ! Mais les coupables seront punis ! Il a lu l'énumération de leurs supplices ; on les fera travailler au dallage des rues, à l'armement des vaisseaux, à l'embellissement des Syssites, et l'on enverra les autres gratter la

affections psychopathologiques que l’on ne pouvait pas véritablement affilier au fonctionnement névrotique ni à celui de la psychose. Le terme borderline (ligne frontière) est d’abord utilisé par Hugues pour qualifier des cas de symptômes physiques survenant dans des affections psychiatriques. Non sans récuser les catégorisations freudiennes (névrose, psychose, perversion) Hugues, en décrivant certaines « folies limites », ouvre une porte dans la pensée psychiatrique à ces affections psychopathologiques

de l’âme avec le corps nous empêche, dans cette vie, d'être adéquats à la moralité. Et, de cette manière, l'existence de Dieu est également postulée par notre espérance d’un autre monde, où notre conduite morale pourra trouver sa récompense, où le bonheur viendra se joindre à la vertu. Certes, la démonstration est d'un tout autre ordre que celle dont on fait usage dans le domaine des sciences ; mais elle est seule appropriée à l'état actuel de l'homme dont la connaissance est bornée au monde des choses