Libertés Fondamentales Liberté D Expression Et Lois Mémorielles

Génocide et liberté de la recherche historique Les droits de l’Homme n’ont jamais été autant bafoués qu’au XXe siècle. Il faut comprendre cette affirmation comme le constat d’un changement qualitatif radical de cette violation. L’extermination systématique des juifs et des Tziganes notamment, par la politique hitlérienne qui ne considérait pas comme Hommes ceux qui ne faisaient pas partie de la race « aryenne », le massacre de la population Tutsi au Rwanda, celui des

passé, aux accusations de négation de l’histoire, l’expression de la volonté d’un universalisme plus horizontale, comme décrit par Souleymane Bachir Diagne et donc de politiques mémorielles plus inclusives. Le concept d’oubli actif théorisé par Nietzsche est aussi mobilisé pour expliciter l’idée d’un ressassement mémoriel empêchant un redéploiement vers le futur. Loin d’une amnésie de l’histoire, ou même d’une lecture anachronique de celle-ci, il faudrait, semble-t-il, considérer les déboulonnages

La liberté d’expression en France et ailleurs Plan : - Introduction. - Liberté d’expression en France. - Liberté d’expression partout dans le monde. - Conclusion. La liberté d'expression est le droit pour toute personne de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par tous les moyens qu'elle juge opportun, dans les domaines de la politique, de la philosophie, de la religion, de morale... Considérée comme une liberté fondamentale, la liberté d'expression est inscrite

« Il n'y a point en France d'autorité supérieure à la loi » proclame l'article 6 de la Constitution française de 1971. Le légicentrisme est une expression désignant le fait que l’on se focalise sur les lois. Dans sa définition pure, le légicentrisme est la doctrine pour laquelle la loi est la seule expression de la souveraineté, disposant d'une autorité suprême dans l'ordre juridique national : elle fonde l'État légal. La loi a plusieurs sens. Elle a un sens large et un sens strict. Le premier

INTRODUCTION : Notion de la loi et différentes lois (consti, org, ordi, voire "lois" communautaires (UE)... lois référendaires et parlementaires) . Aspects de philosophie politique possibles à ce stade (origine avec la loi naturelle, la loi divine-commandement -dans certains Etats encore aujourd’hui —>Etats religieux... ) Donc tradition grecque, hébraïque et romaine pour l’essentiel. Prolongement évident sur le plan des idées (Cicéron... Saint thomas, Hobbes, Bodin, Rousseau, Sieyes...). La loi hier

également considéré comme un art dans l’application pratique sous ses formes essentielles qu’il s’agisse de légiférer, de rendre la justice, de procéder aux inévitables interprétations. Il n’y a pas de civilisation sans droit. Civilisation = justice la liberté première règle de droit, la paix, le droit condamne le conflit et la guerre. A également besoin d’épanouissement. Le droit assure cet épanouissement et cette prospérité. Cette règle du droit, régis l’activité humaine de plusieurs façons 1- elle impose

solidement enracinées en chacun. Pour chaque valeur républicaine listée (la Liberté, l'Egalité, la Fraternité, la Sûreté, le Civisme, Patrie et universalisme, la Laïcité, le Mérite), il convient donc de se repencher sur ses fondements avant de réfléchir à la meilleure façon de la faire partager dans le contexte actuel. La liberté : Notre société est libérale (au sens politique, c'est-à-dire favorable aux libertés individuelles) car elle est issue des idéaux des « Lumières » porteurs de la

président de la république ensuite le texte est publié au journal officiel. C’est là que le texte devient obligatoire. Il existe d’autres types de loi: Les lois constitutionnel qui sont des loi qui ont projet de modifier ou d’abroger la constitution. Les lois organique ont pour projet de l’application de la constitution dans ses détails techniques. Les lois de finances ont pour objet l’organisation du budget de la nation. II- La force obligatoire de la loi: Ce n’est pas une spécificité de la loi

judiciaire de faits historiques PARTIE 2. LA CREATION PAR LE DROIT PENAL D’UNE VERITE HISTORIQUE Chapitre 1. L’instrumentalisation du droit pénal au profit de la mémoire Chapitre 2. L’instrumentalisation du droit pénal en conflit avec la liberté d’expression 3    LISTE DES PRINCIPALES ABREVIATIONS       anc.  Art.  Ass. Plén.  Bull. crim.  c/ C.  C. civ  CE  CEDH  Chap.  C. pén.  C. proc. pén.  Crim.  D.  Décr.  Dr. Pén.  Gaz. Pal.  infra  IR  J.  JCP  JORF 

de François Hartog, régi par l’emprise de la mémoire, devenue le pilier des constructions identitaires, déluges mémoriels qui engendrent des histoires héroïsées ou victimisées dans lesquels se reconnaît tel groupe social ou même tel individu. 4 Or, de même qu’il n’y a pas d’hérédité héroïque, tortionnaire ou victimaire chez les peuples, il n’y a pas de « devoir de mémoire », expression galvaudée et répétée ad nauseam sans examen critique, mais un « devoir d’histoire ». D’abord parce que la mémoire