Yuko

- Pour annoncer waza-ari (demi-point), il allonge le bras horizontalement, de la gauche vers la droite. Waza -ari= 7 points = presque la victoire. Deux waza-aris = ippon =10 points. - Pour signaler le yuko (gros avantage), il étend le bras sur le côté, à 45° vers le bas. Yuko = 5 points = avantage moyen. Code moral du Judo La politesse C'est respecter autrui Le courage C'est faire ce qui est juste La sincérité C'est s'exprimer sans déguiser sa pensée L'honneur C'est

tatami. Une chute roulée sans impact réel ne peut être évaluée comme Ippon Ce point très important doit conserver une régularité d’évaluation pendant toute la période olympique. Yuko. Article 24 a Quand un combattant projette son adversaire, avec contrôle, sur le côté de la partie supérieure de son corps on annonce Yuko. Chute en pont Toute chute en « pont » sera considérée comme un Ippon. Cette règle est imposée dans un objectif de sécurité afin que les compétiteurs ne soient pas tentés de risquer

force et vitesse sur les fesses ou les cuisses. Attention : concernant les cuisses, si le partenaire chute sur le côté de la cuisse jusqu' haut du corps, il y a YUKO. Mais si le bras de celui en qui chute est replié sous son corps, alors on considère qu' il faut prendre en compte le seul impact des cuisses. Il y a donc KOKA et non YUKO. On peut aussi marquer des points en entrant des techniques au sol : les immobilisations, que l’arbitre indique par , traduction du mot en japonais ! En poussin

même si aucune autre infraction C2 n’a été commise. 20. En règle générale, les compétiteurs blessés seront examinés par le médecin hors du tatami, sauf si la blessure nécessite d’être examinée sur le tatami. 21. Nomenclature: Ippon est remplacé par YUKO (1 point), Nihon est remplacé par WAZA-ARI (2 points), Sanbon est remplacé par IPPON (3 points). 22. Quand un compétiteur obtient des points avec plusieurs techniques avant YAME, il sera octroyé les points pour la technique la plus de valeur (par exemple

http://mozambook.free.fr/http://www.ebookslib.com/mailto:Tarilenwe@Yahoo.itN E I G E Au Japon, en 1884, Yuko Akita, âgé de dix-sept ans, annonce la voie dans laquelle il a choisi de s'engager : il sera poète, contre l'avis de son père, un prêtre shintoïste qui estime que la poésie n'est pas un métier mais tout juste un passe-temps. Un poète de la cour Meiji a néanmoins vent des travaux de Yuko, lit ses poèmes, les trouve d'une limpidité admirable mais lui conseille de trouver de nouvelles couleurs

l'histoire racontée est celle d'un jeune poète Yuko qui vit au Japon avec son père, un prêtre. Après être resté 7 jours au sommet de la montagne il revient et est décidé ; il sera poète, au détriment du souhait de son père. Chaque hiver il s'isole dans la montagne et écrit soixante-dix-sept Haïku (genre poétique nippon), un Haïku par jour. Le reste de l'année il avait promis à son père de ne pas en écrire. Un jour, un poète de la cour de Meiji vint chez Yuko alors que celui ci était en montagne, il regarda

initiatique 1. EFFET DE SEUIL Alors que s’ouvre le roman, le protagoniste, Yuko Akita, jeune homme japonais, fête ses dix-sept ans. Après avoir esquissé très rapidement l’enfance de Yuko (chap.Þ2) en ayant recours au procédé du sommaire, l’auteur met en relief sa date d’anniversaire, au passé simple pour cet événement hautement singulatif, et objet d’une des rares datations absolues du romanÞ: «ÞUn jour d’avrilÞ1884, Yuko eut dix-sept ansÞ» (p.Þ14). Même si la majorité ne s’obtient au Japon qu’à

parties : un paragraphe donnant comme une définition de la neige puis dialogue entre Yuko et son père. Dialogue lui-même subdivisé en 2 parties : opposition père/fils. Dernier paragraphe = conclusion et ouverture sur le 3e thème du roman (l’amour). Le père envisage la neige dans sa matérialité alors que Yuko voit l’idée de la neige. C’est-à-dire que 2 visions du monde s’opposent. Père dans le rationnel alors que Yuko dans la passion. Propos péjoratifs avec la personnification « l’orgueilleuse » :

raconte l’histoire d’un jeune poète de 17 ans que se nomme Yuko Akita. Il est issu d’une famille noble constitué de prêtre et de guerrier. Il écrivait 77 haïkus pendant l’hiver et le reste du temps il méditait. Le jour arriva de choisir son métier entre les deux métiers traditionnel de la famille, contre la volonté de père il choisit le poème. L’empereur avait entendu parler de son talent donc il a envoyé le poète de la cours chez Yuko. Malheureusement, ses haïkus étaient désespérément blancs donc

consacre pleinement à l’écriture. Le livre ‘Neige’ nous fait découvrir l'art du haïku, ce petit poème calligraphié japonais composé de trois vers et de 17 syllabes, qui fait référence à la nature et à une saison. Dans le Japon raffiné du 19ème siècle, Yuko veut être poète et consacrer sa vie à ses deux passions : le haïku et la neige. Au terme de son apprentissage auprès d’un grand maître, il découvre l’amour et les couleurs. Ce livre court joue beaucoup sur le découpage en parties et en chapitres.