Respecter la nature, est-ce renoncer à la transformer ? Depuis que la vie existe, la nature est présente, sous ses aspects les plus divers. L'homme lui-même en est issu, et a suivi l'évolution qu'elle seule a décidé. Il reste donc naturel, malgré tout ce qu'il a pû intenter pour prouver qu'il pouvait vivre sans elle.
La nature dans sa définition est tout ce qui ne provient pas de l'homme.
Transformer signifie modifier quelque chose, intentionnellement ou pas. Ici l'auteur de la transformation s'avère être l'homme. Absolument rien de ce que l'homme réussit à faire n'est strictement contraire aux lois de la nature.
Comment serait-il alors possible de ne pas respecter la nature, en sachant qu'absolument tout, même ses modifications, reste naturel ?

Il convient de scinder cette analyse en deux parties. Une première où l'on dissertera sur les possiblités de préserver la nature tout en continuant à y pporter des modifications. Une seconde qui tentera d'établir les preuves que la sauvegarde de la nature passe par la cessation de sa transformation. D'autre part, afin de progresser plus clairement, il convient de distinguer les deux "sortes" qui composent la nature. Tout d'abord la nature dite "matérielle" : l'air que l'on respire, l'eau, la végétation,... Ensuite la nature que l'on nommera "spirituelle", ou "innée" : celle qui fait partie intégrante de la pensée (on parle par exemple de nature humaine)

La nature dite "matérielle" est en danger. Pollution sous toutes ses formes, déforestation, réchauffement de la planète, trou de la couche d'ozone,... La faute en incombe à l'homme qui recense de plus en plus d'individus, impliquant donc une hausse des besoins en nourriture, ainsi qu'un besoin d'expansion essentiel à sa survie.
La solution existe. Certes elle apparaît longue et compliquée, mais elle est réelle, et l'on a déjà commencé à l'appliquer. Elle comporte de nombreuses étapes comme le recyclage, stopper la déforestation, les polluants tels que le plomb