Amour Tragique

Racine meut en 1699 à la suite d’une tumeur. 1. Phèdre Genre : Phèdre est une pièce de théâtre car il y a des dialogues, des didascalies, des actes. C’est une pièce de théâtre tragique car les personnages sont mythologiques, il y a 5 actes, la présence de la règle des 3 unités et il y a un conflit tragique. Titre : Le titre de cette pièce est Phèdre car c’est autour d’elle que tourne le conflit, la pièce a été écrite pour relater un point de la mythologie grecque. Edition : J’ai lu

Oenone Racine : poète tragique français Phèdre : tragédie classique du XVIIeme Met en scène Phèdre, qui est l’épouse de Thésée et sœur d’Ariane. Vénus allume le feu coupable dans le cœur de Phèdre. P. avoue après son amour à Hippolyte parce-qu’elle croyait que Thésée était mort (Acte II, scène 5). C’est Oenone qui va pousser Thésée à bannir Hippolyte et même à le tuer. En quoi l’aveu de Phèdre dévoile-t-il la dimension tragique de la pièce ? I/ L’aveu d’un amour immoral, coupable

Bérénice, qui sacrifient leur amour « malgré lui et malgré elle » à la raison d’Etat ». Ainsi, l’extrait de la scène 5, de l’ace V « non, je n’écoute rien….et vous me l’ordonnez » (v. 1303 – 2347), dont je ferais le commentaire marque la prise de conscience de Bérénice, qui assume désormais la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s’en aller. L’étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et Etat ; puis nous mettrons en

Britannicus, acte II, scène 6 En quoi, dans cette scène tragique, l'attitude de Junie cache un acte d'amour pour Britannicus, même s’il en souffre ? I°) L'attitude de Junie à l'égard de Britannicus et ses conséquences sur lui 1°) Junie ne veut pas montrer qu'elle est amoureuse de Britannicus 2°) Junie contredit ce qu'il dit à propos de Néron 3°) Britannicus est triste (désespoir), il ne comprend pas l'attitude de Junie (beaucoup de points d'interrogation), il croit que Junie ne l'aime plus

elle-même ». Condamnation classique Schéma du héros qui doit savoir se tenir. C’est une héroïne tragique classique. Phrase 3 : Rongée par le poids de la culpabilité : elle se reproche tout alors qu’on ne peut rien lui reprocher Fatalité de l’héroïne tragique. L’amour est coupable. Non seulement elle trahit le mari qui « ... », mais en plus elle donne une image d’elle négative à son amour. Phrase 4 : « Mais » connecteur logique d’opposition. On passe du rationnel au sentiment. C’est

: « sortez, bégaya-t- il. Vous êtes fous, vous êtes fous. » Moi j’avais la sensation de durcir, de refroidir, de me pétrifier. Ensuite, comme une seconde déroule aux yeux d’un mourant tous les souvenirs d’une existence, la certitude me dévoila mon amour avec tout ce qu’il avait de monstrueux. Parce que mon père pleurait, je sanglotais. Alors ma mère me prit en main. Les yeux secs, elle me soigna froidement, tendrement, comme s’il se fût agi d’une scarlatine. Ma syncope expliqua le silence de la maison

émotions et des réflexions. Est-ce que le monologue permet la construction du personnage tragique ? Construire ici est pris dans le sens de comprendre du point de vue du spectateur. Celui-ci peut-il à travers une tirade saisir le problématique de la tragédie ? Comment le monologue traduit-il chez le personnage un drame, une difficulté, une détresse ? Ce procédé théâtral mène t-il toujours à une dimension tragique chez le héros ? Nous verrons dans une première partie que le monologue est une forme

IVème siècle avant JC, l’un des sujets les plus tragiques de l’antiquité est l’histoire d’Œdipe et de ses descendants racontée à travers trois grandes tragédies de Sophocle. Au XVIIème siècle, en France, la tragédie est considérée comme le genre noble par excellence, illustré par Corneille et Racine, faisant pendant au genre plus prosaïque de la comédie dont Molière est le plus célèbre représentant. Mais à partir du XIXème siècle, les registres tragiques et comiques sont régulièrement mêlés, remettant

Salluste, son maître qui se servait de lui pour se venger de la reine. Celle-ci avait en effet quelques années plus tôt, condamné le comte à l’exil après avoir déshonoré une fille de sa cour. Dans l’extrait étudié, Ruy Blas se suicide à cause de son amour pour la reine et l’acte meurtrier qu’il vient de commettre. Je vais donc maintenant procéder à la lecture. (Lecture) Nous pouvons, ici, diviser cette scène en trois mouvements : La première, située au début de l’extrait jusqu’à la réplique de

tombant dans un mutisme qui s’apparenterait à celui des morts. - Où réside donc la portée tragique de cet aveu ? En d’autres mots : Comment cette scène d’aveu plonge-t-elle le spectateur dans une atmosphère de suspens, de peur et d’angoisse ? - Quelles sont les manifestations tragiques de cette passion violente et déchaînée ? - Et comment cette scène dessine-t-elle les caractéristiques du personnage tragique chez Phèdre ? Pour répondre à ces trois grandes questions, on se consacrera