L Homme Centre Du Projet Humaniste

sa situation un texte littéraire : adapter son écriture à l’instabilité du monde = Ses essais évoluent, changent et différent = miroir du monde qui change. (Montaigne justifie son projet) Montaigne se contentera de réciter l’homme au lieu de l’inventer comme le font les autres auteurs : « les autres… récite » = projet unique et différent. Montaigne essaye son âme. Il ne peut écrire de traité, car cette dernière est toujours en épreuve. (il n’est sûr de rien) « si mon âme … m’essaierait pas » Montaigne

Projet d’année : connaître les mouvements littéraires et culturels Faire des exposés sur les mouvements littéraires LA PLEIADE : XVIe SIECLE La Pléïade est un courant poétique formé par un groupe de sept poètes. « Pléïade » est un nom emprunté à une constellation de sept étoiles. 1549-1560 Principes et caractéristiques : Création d'une grande poésie en langue française qui puisse rivaliser avec la poésie grecque et latine. Admiration pour l'Antiquité et pour l'Italie ( en

La question de l'autre anime tous les siècles, la confrontation du témoignage de l'ethnologue contemporain Claude Lévi-Strauss avec les auteurs humanistes que sont Montaigne et Léry en témoigne. Toutefois, elle semble prendre une résonance particulière à la Renaissance, alors que les humanistes cherchent à placer l'homme au centre de leurs préoccupations et, ce faisant, remettent en cause nombre de certitudes. Dans le premier livre des Essais, de Michel de Montaigne explique que, pour

de longues études ingrates et entièrement livresques, sans rapport avec la vie ni la connaissance du monde– à la seconde, lorsque Grandgousier l’envoie à Paris où, sous la tutelle de Ponocrates, il sera remis sur la bonne voie. Comment l’idéal humaniste s’exprime-t-il dans le chapitre 22, où le narrateur décrit la manière dont Gargantua occupait son temps quand l’air était pluvieux ? Nous montrerons tout d’abord l’aspect encyclopédique de cette éducation qui se veut universelle, puis nous insisterons

– de longues études ingrates et entièrement livresques, sans rapport avec la vie ni la connaissance du monde– à la seconde, lorsque Grandgousier l’envoie à Paris où, sous la tutelle de Ponocrates, il sera remis sur la bonne voie. Comment l’idéal humaniste s’exprime-t-il dans le chapitre 22, où le narrateur décrit la manière dont Gargantua occupait son temps quand l’air était pluvieux ? Nous montrerons tout d’abord l’aspect encyclopédique de cette éducation qui se veut universelle, puis nous insisterons

époque instauratio, restauratio, restitutio banarum litteratum. D'autres l'appèlent reflorescentia, renascentia. Rabelais parlera dans Pantagruel de humanitas. Et ceux qui s'intéressent à ces lettres humaines seront appelés humanistes. Pour les humanistes, l'homme est placé au centre de toute question. S'appuyant sur la sagesse des auteurs antiques, ils souhaitent bâtir une société différente, désirant atteindre la perfection, que ce soit au niveau de la moralité ou des arts. Ce changement s'opère à

déplace sur la connaissance de l'Homme. Les ''humanistes'' (intellectuels qui développent cette nouvelle façon de voir l'Homme et le monde) défendent d'autres valeurs que pendant le Moyen Age. Aux valeurs médiévales qui sont la bravoure, l'amour de Dieu, la vaillance chevaleresque...on oppose désormais les valeurs humanistes qui sont le savoir (qui doit être le plsu complet possible), la tolérance et la nécessité d'éducation. ''On ne naît pas Homme, on le devient'' est une expression d'Erasme qui

la Renaissance, qu’ils soient érudits humanistes, hommes de lettres ou poètes. L’éducation La question de l’éducation est particulièrement développée dans la deuxième partie de Gargantua. Rabelais reprend un grand thème de son temps et le développe selon plusieurs perspectives : - Tout d’abord selon une dimension critique Parodie de l’art sophistique Caricature des érudits de Sorbonne - Il développe également un programme utopique Ce projet est pour Rabelais lui-même non réalisable

circulaire. Autrement dit il y a un décalage naturel entre l’anatomie de l’œil et la représentation que propose un artiste. Il préfère d’autre un espace courbe car la surface de l’œil est concave et donc l’image que nous possédons de la réalité ne se projette pas sur une aire quelconque mais sur une surface incurvée donc la perception de l’espace se fait courbe. Selon les règles de la perspective géométrique, on reconstruit une vision à plat, tronqué de la réalité et donc on renonce à une vision naturelle

établie, Francesco di Giorgio Martini. Ce dernier l'emmène à Parme, avec Giovanni Antonio Amadeo et Luca Fancelli, où on lui a demandé une autre consultation pour la construction de la cathédrale8. C’est à cette époque que Léonard réfléchit à des projets techniques et militaires. Il améliore les horloges, le métier à tisser, les grues et de nombreux autres outils. Il étudie aussi l’urbanisme et propose des plans de cités idéales. Il s'intéresse à l'aménagement hydraulique et un document de 1498 le