Le Marivaudage

 dont il est le seul rédacteur. Il endosse tous  les rôles jusqu'en 1724, pour 25 numéros.  Marivaux va rapidement renouveler la comédie au théâtre, avec des pièces comme ses Surprises de  l'amour, La Double inconstance. Il crée ce que l'on va appeler le marivaudage. Son théâtre reprend la devise  de la comédie, « castigat ridendo mores ».  Par la suite il se tourne vers la comédie philosophique, pour laquelle il a recours à des cadres utopiques :  c'est l'époque de L'île des esclaves en 1725, ou encore de la Nouvelle Colonie en 1729

rédacteur. Il endosse tous les rôles jusqu'en 1724, pour 25 numéros. Marivaux va rapidement revenir à la comédie au théâtre, avec des pièces comme La surprise de l'amour(1722) et La Double inconstance(1723). Il crée ce que l'on va appeler le marivaudage. Par la suite il se tourne vers la comédie philosophique, pour laquelle il a recours à des cadres utopiques (imaginaires) Marivaux s'intéresse aussi à la réalité sociale de son époque, et publie le fruit d'un travail de quinze ans (1726-1741)

vous pourrez en apprendre davantage sur la vie de ce fantastique écrivain et de son style d’écriture si différent, le marivaudage. Tout d’abord, lorsqu’on parle de théâtre comique, on pense surtout à Molière, cet auteur si talentueux qui fut nombre de fois copié par les différents écrivains de comédie. Malgré tout, un seul voulait développer son propre style, celui du marivaudage. Cet écrivain fut Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux. Celui-ci ne savait pas encore à la fin de ses études qu’il voulait

un langage amoureux qui joue sur les allusions, les délicatesse : le MARIVAUDAGE. Le langage théâtral ( surtout dans la comédie) essaye de mettre dans les voix des personnages un mime de langage naturel. Ce que vise les autres dramatique ( comédie, Molière,Marivaux...) Conclusion du comique de Marivaux : Dans le comique de situation, quelque chose de subtil, de délicat, de raffiné, style de Marivaux : Le Marivaudage. Un comique qui met le spectateur au centre de cette affaire ( double

esclaves, de Marivaux Année 2010-2011 SOMMAIRE 1- Le théâtre au XVIIIème siècle a- Le drame bourgeois b- La tragédie c- La comédie : la comédie française et le théâtre italien 2- Biographie de Marivaux 3- Qu’est ce que le Marivaudage ? 4- Résumé de L’île des esclaves 1- Le théâtre du XVIIIème siècle A- Le drame bourgeois Le drame bourgeois est un genre théâtral né au XVIIIe siècle sur un concept élaboré par Diderot et Beaumarchais. Le drame bourgeois est

de montrer que la surprise de l’amour fait place à l’épreuve et à la souffrance. Un dialogue amoureux entre aveu et mauvaise foi La composition de l’extrait : du marivaudage* à la tirade de fin (*Echange de propos amoureux, d’une grande finesse et d’une grande vivacité) •Extrait débute par un échange vif (marivaudage) : les répliques sont brèves « comme tu voudras », les pronoms « tu » et « toi » sont repris d’une réplique à l’autre, ainsi que des propositions « je t’en prie ». Cet effet

le marivaudage, en rupture avec les conventions de l’écriture dramatique usuelle. C’est à la fois une comédie légère, le ton de la commedia dell’arte (fantaisie voire irréalisme de l’intrigue et des personnages) + comédie sérieuse ou réaliste, la peinture de mœurs et les enjeux sociaux (le milieu « bourgeois » et le problème du mariage). Il reste de Marivaux un théâtre si original, d’un style particulier que le nom de son créateur a fourni 2 nouveaux mots à la langue française : marivaudage et

pièces de théatre a) Le stratagème permet d’aider un personnage à avouer ses sentiments amoureux, ou a rendre jaloux ou jalouse la personne aimée. A l’époque, les mariages sont arrangés par la famille. L’expression « tomber amoureux » vient du Marivaudage mais n’est pas reconnu à l’époque. Le stratagème permet d’avouer son attirance, par exemple par le biais de lettre d’amour. Dans Les Fausses Confidences, Dorante avoue ses sentiments à Araminte par une lettre. Il dit l’aimer avec passion et partir

Paris le 4 février 1688, et décédé le 12 février 1763. Marivaux est un homme assez solitaire et discret, il eut plusieurs professions : Journaliste, romancier mais surtout un auteur dramatique. Au théâtre son style subtil, qui a reçu le nom de « marivaudage » exprime l’ambiguïté des rapports humains (par exemple maître et valet, amant et amante). Marivaux a marqué de son empreinte le XVIIème siècle. Après Molière, Racine, Pierre Corneille et Musset c’est le cinquième auteur le plus joué de la Comédie

badinage futile, ainsi que l'on définissait le marivaudage *. Cette première approche sera le marchepied pour l'étude des relations maîtres-serviteurs. * Marivaudage : prenons la pensée même de son créateur : J'ai guetté dans le cœur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il craint de se montrer, et chacune de mes comédies a pour objet de le faire sortir d'une de ses niches... Si l'on comprend bien, le marivaudage n'est pas ce langage inutilement affecté et artificiel