Le Monstre Vert

(l’indien, l’algérien, le monstre) Des films politiques La mise en scène et la structure Définition de ce qu’est un genre. Le genre : ensemble d’êtres ou d’objets présentant des caractéristiques communes. Par conséquent, ici ce sont des catégories d’œuvres définies par la tradition ( d’après le sujet, le ton, le style). On notera alors que chacun des films appartient à un genre bien distincts : « Dead Man » = le western « The Host »  = le film de monstre «La Trahison» = le film

(couleur de la respectabilité) On assiste à l’entrée de l’éléphant dans la société de consommation (Babar qui doit choisir entre les jouets ou les vêtements est un parallèle avec le dilemme de rester enfant et les responsabilités d’adulte). Le costume vert rappelle la couleur dominante de son pays natal. La mère de Babar tuée = époque colonialiste (uniforme) D’autres albums de BABAR : * Le voyage de BABAR en 1932 * L’ABC de BABAR et le roi BABAR en 1933 * Les vacances de Zéphir

logicien. Leurs réactions sont diverses, mais on a l’impression qu’ils sont plus interloqués qu’effrayés. Le plus frappé semble Jean ; c’est l’occasion d’une première querelle entre les deux amis, Bérenger, attachant peu d’importance à l’apparence du monstre. Il aperçoit la jeune Daisy dont il est amoureux, mais il est trop timide pour se déclarer, il ne se sent pas de taille à rivaliser avec son collègue de bureau, Dudard. Le portrait de Bérenger se complète : il reconnaît ne pas se trouver à l’aise

n’est plus nette, le rhinocéros « chante » et l’humain Bérenger « hurle ». Béranger se retrouve seul face à la majorité, qui devient belle, qui devient le repère. Il est "contre tout le monde", il le répète deux fois. Seul il devient l'intrus, le "monstre". Le personnage évolue dans ce monologue final entre attirance vers cette majorité et rejet. III le trajet du personnage : de la confusion à la résistance Les didascalies montrent l'évolution du personnage : 1. Didascalies qui montrent l'évolution

on passe à un univers fantastique où l’horreur règne. L’arbre se transforme alors en un personnage monstrueux, « un être surnaturel ». Il n’était vraiment pas un arbre, il est donc rejeté de son espèce, et devient ce monstre Il est d’abord comparé à un serpent : « serpent vert », « l’œil du serpent », symbole du mal et de l’enfer. En effet, Satan métamorphosé en serpent fut responsable du péché d’Eve et de la chute de l’Homme. De plus la couleur verte intensifie ce coté obscur, ce mal. Enfin

reste des deux premiers quatrains, RIMBAUD métaphorise la folie des hommes, mais plus généralement la guerre en un monstre qui fait de la guerre une boucherie, qui tue des bataillons et blesse des milliers d’hommes sans réels raison. En revanche, l’atrocité de la mort s’oppose à la nature notamment par l’opposition des couleurs. L’opposition entre les rimes bleu et feu, rouges et vert (v1, 2, 3, 4) fait ressortir le côté destructeur de la guerre et celui paisible de la nature. On remarque la personnification

différences des différents mythes.B/ La sirène dans la Renaissancea) La sirène d’Ambroise ¨Paréb) La sirène: une maladie génétique?II- Le mythe de la sirène symbolique à travers quelques documents.A/ Le symbole de la sirène, en particulier au Moyen-Age: un monstre séduisant?B/ Une redécouverte du mythe de la sirène avec Hans Christian Andersen et les productions Disney: a) La petite sirène d'Andersen b) Le film « La petite sirène » c) Bilan: similitudes et différences entre l'histoire originale et l'adaptation

une maladie transformant les hommes en rhinocéros, cela peut nous faire penser à nous, lecteur du XXIe siècle à une sorte d’apocalypse zombie où par exemple Bérenger serait le seul survivant face à ses mangeurs de cervelle. Il est seul face à des monstres qui ne le comprennent pas, il souhaitait faire partie de ce groupe de rhinocéros pour ne plus se sentir seul, mais à la fin, décide de se battre, armé d’une carabine tel un héros de film de zombie. D’un point de vue stylistique, nous avons un bon

personnage : chat ; ce qui le caractérise (clown, singulier, curieuse apparence). Parties du corps, vêtements, parure et ce qui les caractérise : Nez → un gros nez rouge, rond comme une balle de ping-pong Pelage → écossais, rayé en jaune dans un sens et en vert dans l’autre Queue → tintait à chacun de ses mouvements 2. Trouver les aspects mentionnés dans les portraits : partager les textes dans la classe, chaque élève travaille sur un texte différent. Consigne : Trouver tout ce qui permettrait de dessiner

entamée par Labdacos, le « boiteux », puis Laïos, le « gauche » et Œdipe, « pied enflé ». Ce motif de la boiterie a pu être interprété de diverses manières mais il lie en tout cas le personnage d’Œdipe à celui qui ne va pas droit, qui dévie, au monstre. Si la marque est à la fois signe d’exclusion et de génie elle révèle bien la nature double d’Œdipe, tyrannos protecteur de Thèbes qui amène pourtant la peste sur la cité bien-aimée. Les deux entrées d’Œdipe sur la scène : glorieux au début du