Le Personnage De Rodolphe Boulanger

mène à des déceptions amoureuses avec son mari et ses deux amants Rodolphe et Léon. Elle fini ruinée, rongée de désespoir et d’ennuie. Elle se suicide laissant derrière elle un mari qui mourra d'amour pour elle ainsi qu'une petite fille, Berthe. Nous allons voir comment Flaubert conduit Mme Bovary, personnage éponyme, a une morne fin. I) L’enfance d’Emma Bovary 1) La religion

d’Emma. L’auteur nous présente différents amours a travers le roman, et nous nous demandons donc quelle visions de l’amour il nous présente réellement. Lorsque Emma se marie a Charles Bovary, nous pouvons observer la relation entre ces deux personnages. Emma fini par s’ennuyer. « La conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue. » Déjà, elle est déçu du mariage le soir de sa nuit de noces, elle « ne montre rien », se qui sous-entend que ce n’était pas le point de l’extase. Dans

cours de la soirée qui suit son départ, Homais annonce que des Comices agricoles auront lieu dans l'année à Yonville. Chapitre 7 / Rodolphe Boulanger Le chagrin d'Emma s'apaise peu à peu mais les " mauvais jours de Tostes " recommencent. Elle a des malaises, se passe quelques fantaisies, achète par exemple une écharpe à Lheureux. Un jour de marché, Rodolphe Boulanger, le nouveau châtelain de la Huchette, entre en contact avec les Bovary à l'occasion d'une saignée à faire à un de ses fermiers. Il

foulard du même rose que sa jupe. La quatrieme contient un résumé du livre, et on retrouve sur la droite, en haut la même peinture de mme bovary miniutarisé de la premiere page. II L’histoire -Le titre est Madame Bovary, car c’est le nom du personnage principale, Emma Rouault devenu Bovary en épousant Charles bovary, qui se rend compte que la vie avec son mari n’est pas la vie qu’elle s’imaginé, elle est alors victime d’une enorme désillusion car elle ne vit pas du tout la passion qui la fesait

sentiments, passion et complicité. C’est tout ce qu’elle n’a jamais réellement eu au cours de sa vie. Ces idéaux causeront sa perte, car, suite à une énième déception de la part de Rodolphe, elle décidera, dans un élan de folie, de donner fin à son existence. Ce récit est issu du courant réalisme, malgré le côté romantique du personnage d’Emma, car il représente une réalité tout à fait possible au sein d’une classe moyenne. Le titre original du roman ; « Madame Bovary : Mœurs de Province » nous indique également

indéniablement des caractères romantiques et pour cause, son sujet traité. La vraisemblance des décors, la précision des détails font en partie de cet ouvrage, un ouvrage « réel », de plus, Flaubert s'est inspiré de faits divers pour mettre au jour ses personnages. Il a respecté l'existence des lieux et la concordance des dates, ce qui accroît l'enracinement de ce roman dans la réalité. Cependant, s'il est indéniable que cette œuvre possède un caractère réaliste, nous ne pouvons nier son côté romantique,

impossible naît alors entre ces deux personnages ; tous deux sont malheureux car ils ne peuvent être ensemble. Léon décide alors de partir pour Paris. Suite à cette séparation, Emma sombre dans le désespoir. Un jour de marché, Rodolphe Boulanger, le nouveau châtelain de la Huchette, entre en contact avec les Bovary à l'occasion d'une saignée à faire à un de ses fermiers. Coureur de jupon invétéré, il se met alors à séduire Emma et ils deviennent ensuite amants. Mais Rodolphe commence à se lasser et Emma

sujets : énormes Leurs personnages : passionnés, ambitieux, exagérés Leurs intrigues : très fortes Le réel : trop dramatisé Leur narrateur : émotionnel, éloquent FLAUBERT EST PLUS SIMPLE ! Ses personnages sont des romantiques ridiculisés, il critique l’esprit romantique * Balzac : romantique et réaliste, Flaubert veut « détruire » la façon d’écrire de Balzac qui est faite de : Narrateur omniscient, intrusions d’auteur Côté romanesque et passionnel des personnages Thèmes : ambition, succès

qui correspond au 2e versant de la pyramide. Puis nous observons le schéma de duplication présent dans Madame Bovary. I. La progression, premier versant : L’ouverture sur l’enfance de Charles marque le début de la pyramide. Cette scène où le personnage de Charles est décrit comme un « gars de la campagne » perdu dans cette classe et ridicule, se situe bien en bas de la pyramide. Présentation pathétique de Charles : « Le nouveau, prenant alors une résolution extrême, ouvrit une bouche démesurée

Bovary » est écrit en toute objectivité et impartialité.
A travers une multitude de détails, il dépeint la réalité sans concessions.
Flaubert met en avant les vices de l’époque via ses personnages.
Dans cette œuvre, toutes les classes sociales ou presque sont représentées. Celles-ci sont associées aux personnages de Madame Bovary et le langage propre à chaque type de classe et bien mis en scène.
Cependant, même si toutes les caractéristiques du réalisme sont présentes dans cette œuvre, elle n’est