Démocratie directe

evenements de la cite athenienne. Ils ont un role economique important puisqu’ils pourvoient par leurs redevances une somme qui permet de faire fonctionner la cite. II – La democratie athenienne 1. Une democratie directe Apres avoir connu differents regimes politiques ( tyrannie, oligarchie ), Athenes devient une democratie c'est-à-dire un regime fonde sur l’egalite de tout les citoyens. L’egalite des citoyens s’opere aussi face a la loi, c’est l’isonomie. Tous les citoyens ont le droit et le

questions en deux grandes parties, dans la première, nous parlerons de l’anarchisme, des fondements de ce mouvement, de ses 4 grands partis différents, le communisme libertaire, le collectivisme libertaire, l’individualisme anarchiste et la démocratie directe, ainsi que de son opinion publique. Dans la seconde partie, nous évoquerons Pierre-Joseph Proudhon, nous parlerons ici de sa vie, des ses grandes idées, sur la question de la propriété, le gouvernement, le fédéralisme, les sciences économiques

individuelle) qui défendent l’idée de démocratie directe et du respect de la liberté d’expression et ceux qui prônent le recours à la censure donc une vision plus réglementariste. De plus, Paul Mathias montre certains inconvénients de la pratique d’Internet comme le risque de déformation de l’information à travers les communications électroniques ou encore, une vigilance constante des utilisateurs sur la sécurité de l’information. Pour Mathias, l’idée d’une démocratie sur Internet induit un contrôle

capitalisées inutilement, suggère l'idée de possessions individuelles ne garantissant quant à elles aucun droit de propriété concernant les biens non utilisés, et à travers la liberté politique (mandatement impératif, autogestion, fédéralisme, démocratie directe). Pour ses partisans, l’anarchie est donc organisée et structurée. Etymologie : Le terme anarchie est un dérivé du grec « ἀναρχία » (« anarkhia »). Composé du préfixe privatif an- (en grec αν, « sans », « privé de ») et du radical arkhê, (en

sociétés fonctionnent, parfois depuis des millénaires, sans autorité politique (État ou police)[11] ou suivant des pratiques revendiquées par l'anarchisme comme l'autonomie, l'association volontaire, l'auto-organisation, l'aide mutuelle ou la démocratie directe[12]. Les premières expressions d'une philosophie libertaire peuvent être trouvées dans le taoïsme et le bouddhisme[13]. Au taoïsme l'anarchisme emprunte le principe de non-interférence avec les flux des choses et de la nature, un idéal collectiviste

l'université. →DANIEL COHN-BENDIT créa le «Mouvement du 22 mars»Sous le nom de "Dany le rouge", comme porte-parole et leader de la révolte :  il s'est autodissout dès la fin mai, pour ne pas devenir un mouvement classique. Il fondait ses idées sur la démocratie directe, avec des décisions prises à l'unanimité. Il était donc par essence très fragile. Différentes tendances d'étudiants le compose : des libertaires, des anarchistes, également ce que l'on a appelé ensuite les « Enragés de Nanterre », d'inspiration

qu’aujourd’hui sous la tutelle de l’État. Elles ont été portées par des personnes qui se réclamaient de territoires dont l’identité était niée par les découpages administratifs existants. Leur promotion a été assurée par des partisans de la « démocratie directe » qui contestaient le fonctionnement autoritaire de certains élus ; au Sud elles se sont développées en opposition aux projets de développement décidés « du haut vers le bas » par des administrations centralisées et omnipotentes, sans concertation

participation directe des étudiants à la gestion. De Gaulle estimait qu’à travers ces mouvements le peuple revendiquait plus de démocratie, il décide de faire un référendum sur la régionalisation et le rôle du Sénat le 27 avril 1969. Mais De Gaulle avait déclaré que ce referendum était comme un test de confiance et que si c’est le non qui l’emporte il démissionnera. Sauf que le non l’emporte avec 52,41 % et donc la démission du le général de Gaulle est une conséquence directe de Mai68

qui légitimise l'exercice du pouvoir politiquequ'à un Etat sur son territoire et la population vivant sur ce territoire. Si cette souveraineté se retrouve entre les mains d'un individu, on peut se diriger vers du déspotisme; alors que dans les démocraties, cette souveraineté revient au peuple en entier, réunit en une entité abstraite nomnée "nation". Ce terme de "souveraineté" nationale apparait déja dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 en son article 3; dans l'article

Démocratie et souveraineté Ces 2 textes posent la question (Rousseau, Montesquieu) du mode d’exercice de la souveraineté. Le 1er texte de Rousseau est extrait du contrat social publié en 1762 et le 2nd de Montesquieu est extrait de l’esprit des lois publié en 1748. Ces 2 auteurs ont vécu pendant le siècle des lumières, ils ont donc une vision démocratique de la souveraineté. Une vision qui suit la théorie théocratique du pouvoir selon laquelle le pouvoir vient de dieu. Dorénavant la souveraineté